Après la diffusion du dernier numéro du "Test qui sauve", Michel Cymès et Adriana Karembeu ont été vivement critiqués par la Fédération nationale des Sapeurs-Pompiers de France qui ont dénoncé le programme de France 2. Très en colère, Michel Cymès a tenu à répliquer dans une lettre ouverte. Non Stop Hanouna vous en dit plus.
Alors que l’émission "Test qui sauve" sur France 2 a pour but d’apprendre les gestes des premiers secours, Adriana Karembeu et Michel Cymès doivent faire face à de vives critiques de la part de la Fédération nationale des Sapeurs-Pompiers de France. Alors que les deux animateurs ont voulu éteindre un feu de friteuse, la FNSPF a dénoncé le programme : "les sociétés de production ont choisi de faire appel à une société privée de formation incendie plutôt qu’au service public d’incendie et de secours des sapeurs-pompiers, dont les missions sont précisément la formation, prévention et sensibilisation du grand public face aux risques. La spectaculaire démonstration du feu de friteuse aboutit à des conseils de conduite consistant à éteindre le feu soi-même par l’apposition d’un couvercle ou d’une serpillière humide. Or, ce geste est particulièrement dangereux à effectuer par le téléspectateur".
"On se retrouve au milieu d’une guéguerre"
Face aux critiques, Michel Cymès a tenu à réagir dans une lettre ouverte, et surtout à faire connaitre sa colère : "On a bien permis à près de deux millions et demi de téléspectateurs d’apprendre les rudiments du secourisme, mais surtout que l’on a réussi à les motiver pour qu’ils aillent se former auprès des organismes de secours… on se retrouve pris au milieu d’une guéguerre du secourisme. Insupportable de se retrouver accusés par des profession-nels du secourisme parce qu’on n’a pas fait appel à eux. […] Parce que la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France… ce n’est pas LES pompiers de France (…) Et que ça plaise ou pas à ceux, professionnels du secourisme, qui, ce soir-là, n’ont pu que regarder l’émission, à vrai dire, cela nous importe peu".